• May Chidiac (Avant)

     

     

    Dans la série « Rigolonzunbrin », May Chidiac, une journaliste libanaise anti-syrienne, présentatrice sur la chaîne LBC, a été la cible d'un attentat à la voiture piégée. La sienne en plus.

     

    Une douceur au TNT avait été glissée sous son siège par un petit farceur aux ordres de Bashar Al Assad.

     

    Mais il a raté sa blague, car  May Chidiac avait le mauvais goût de se pencher sur le siège passager, pour poser son sac, au moment où la bombe a explosé.

     

    Elle a survécu, certes, mais pas entièrement : elle y a laissé une jambe et un bras.

     

    La grosse vanne libanaise, c'est que maintenant, elle fait des pieds et des mains pour revenir à la télé.

     

    Repassez-moi la bouteille d'arak svp ...


    18 commentaires
  • Beyrouth, 5 février

    Je suis un grand fan de bêtise humaine. Je pratique aussi, ça me fascine. Et rien ne m'amuse plus que l'humour noir, comme les Carnets de Monsieur Manatane qui en sont sans aucun doute le paradigme.

    Le barbu aime aussi l'humour. On a au moins ça en commun.

    Sauf qu'il est très très fort, et que parfois il va très loin. Voilà un petit florilège. Ames sensibles s'abstenir, Marie et Michel (le couple M&M's) aussi, vu que je vous ai déjà conté ces belles histoires qui raviront vos enfants, si vous avez le malheur d'en avoir.

     On commence avec le Hamas, qui s'est déjà amusé à pimenter un peu sa lutte-contre-l'ennemi-sioniste. Et a su faire preuve d'une belle imagination, en inventant l'attentat-VIH. Non contents de se faire sauter dans des bus scolaires israéliens, au moins deux de leurs kamikazes portaient, en plus de leur ceinture d'explosifs, des poches de sang contaminé, histoire de bien faire flipper les survivants blessés.

    Boum.

    T'es pas mort, mais t'es bon pour un test.

    Une autre anecdote rigolote : en Iran, pendant la guerre contre l'Irak. Les Iraniens avaient un petit problème pour aller taper sur la gueule des Irakiens : de beaux champs de mines bien garnis. Qu'à cela ne tienne : les mollahs ont chopé des enfants, et leur ont donné de jolies clés en plastique doré.

    « Tiens mon enfant, ça, c'est la clé du Paradis, et c'est pour toi. Tu vois le champ en face ? Ben va courir dedans. »

    Boum.

    Une mine en moins. Un gosse aussi, mais c'est pas grave, c'est un « Martyr », bien que je ne sois pas certain qu'un gamin de 10 ans sache quoi faire des quarante vierges (« houris ») gracieusement mises à disposition par ce bon vieux Allah.

     

    Heureusement, y'a l'arrak pour oublier tout ça.

     

     

     


    10 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique