• Les affaires reprennent ! Ca faisait presque deux mois qu'on n'avait pas eu de bombe, on commençait à se faire chier sévère.

    Pas de député cette fois-ci, juste une caserne, attentat revendiqué par Al Qaëda.

    L'ennui, c'est que j'habite aussi à côté d'une caserne, et ça rigole plus du tout vu que le périmètre est bouclé. J'ai donc droit à une bonne palpation testiculaire dès que je veux rentrer chez moi. Alors que s'il fut un temps biblique où l'on m'appelait le Gourdin Vengeur, je ne peux pas prétendre non plus pouvoir me cacher une bouteille de gaz dans le slip. Bref.

    A propos de bombes, ça me donne envie de déblatérer un peu sur la libanaise. Maronite, bien sûr, c'est la seule à fréquenter les lieux mécréants comme la rue Monot ou Jemaïzé.

    "Les libanaises n'habitent pas leur corps". Cheikh Augustin

    La maronite a souvent le string qui remonte jusqu'aux épaules, mais elle se le laisse rarement manger, sauf par d'heureux possesseurs de Porsche Cayenne ou de cartes Visa Gold. Elle est fière d'aller à la fac avec des strips sur le nez, pour bien montrer qu'elle a pu se payer un replâtrage du pif, ou d'afficher une paire de loches dont l'indifférence à la force gravitationnelle laisse suspecter l'injection d'un bon silo de silicone. Le talon haut, la croupe bien relevée, elle se sait princesse d'un monde fait de mâles - moi le premier - subjugués par un ratio sein/cul de plus de 6 sur l'Echelle de Siffredi.

    Je suis d'ailleurs la victime récurrente de doubles fractures de la rétine, tellement c'est beau à voir. Mais la maronite n'en est pas pour autant encline à la saillie, et est responsable de facilement 50% de l'homosexualité locale. Car elle suscite plus qu'elle ne susce. (c'est pas français okay mais j'm'en tape)

    "Venez à moi les brebis égarées, surtout si vous êtes blondes à forte poitrine! " disait mon ami de Nazareth.

    Les rares dont j'ai pu me faire le berger, après moults ruses, subterfuges et malice, m'ont paru d'une bêtise consternante (genre "tu fumes après l'amour? - Je sais pas, j'ai jamais regardé").

    Fidèle à ma francité plus qu'aux promesses de lendemain, et bien que d'autres organes aient une fâcheuse tendance à l'y pousser, mon cerveau n'a jamais pu se résoudre à composer leur numéro une fois l'acte consommé.

    Que ne donnerais-je pour tomber sur une saine conjugaison de neurones et de formes?

    Ah, France, pays de la Touffe qui Pense !


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